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Tuesday, June 24, 2003
All aboard the ho' train Extension du domaine de la pute
The Toulouse City Hall web site was transformed into a porno site by hackers. Enough fun and games. When the serious Economist picks up on a topic you can be sure that there is more fire than smoke. With the Baudis affair France has its own version of the 'four on the floor murders'. Baudis is clawing back but he looks as ever in a quagmire. We must not let all of this make us forget the CSA's (French FCC) contribution to French audiovisual culture. The CSA, having unilaterally and arbitrarily decided that the dignity of the contestants of the French 'Big Brother' show was being trampled decided to find a quick fix to restore it. The solution put togther was called 'the CSA room', an isolated room free from any surveillance where the contestants could escape from the pressures of the competition. In reality, the 'CSA room' was used as an 'opium den' and 'shag shack'. On second thought, they should have called it the 'Baudis room'. Le site web de la mairie de Toulouse était transfomé en site porno par des hackers. Mais il y en a assez de ces jeux d'enfant. Quand l'Economist, publication sobre s'il en est, décide de traiter un sujet, vous pouvez être certain qu'il y a plus de feu que de fumée. Grâce à l'affaire Baudis, la France se retrouve avec un véritable cas des 'meutres à quatre pattes'. Baudis sort ses griffes mais il a toujours l'air bien pris dans son bourbier. Il ne faut tout de même pas faire de sorte que cette sombre histoire nous fasse oublier la contribution de la CSA à la culture audiovisuelle franchouillarde. La CSA avait décidé de façon arbitraire et unilatérale que la dignité de ces pauvres participants au Loft étant bafouée, il fallait absolument rafistoler un moyen de la protéger. La solution trouvée s'appelle 'la salle CSA', une pièce isolée et non filmée où les participants peuvent s'échapper à l'enfer de la compétition. En fait, 'la salle CSA' sert uniquement comme 'fumerie d'opium' et 'baisodrome'. Tout bien réfléchi, ils auraient dû l'appeler 'la salle Baudis'.

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