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Sunday, November 09, 2003
French getting stuck in the quagmire of their own suburbs L'enlisement dans les banlieues franchouilles
The French Intifada continues. A social center in Strasbourg was severely damaged by an arson attack. On top of that, a Paris police laboratory has issued a statement declaring that pipe bombs are becoming used increasingly in suburban Paris (while we await the arrival of bomb belts to Paris suburbs). Thanks to Alain. L'intifada franchouille suit son bonhomme de chemin. Un centre socio-culturel était incendié à Strasbourg. Pour comble, le Laboratoire central de la préfecture de police de Paris vient de déclarer qu'il y a une recrudescence de l'utilisation des engins explosifs artisanaux de type 'pipe-bombs' en banlieue parisienne (en attendant l'arrivée des premières ceintures explosives en banlieue parigotte). (Ed.- un terme équivalent pour 'pipe-bombs' est en attente d'homologation de la part de l'Académie fwançaise). Merci à Alain.
UPDATE: Hey, those AFP press releases on the French Intifada disappear faster than French troops in front of an oncoming enemy. The full text of the press release is copied below. DERNIERES INFOS: Mais dis-donc, les dépêches de l'AFP au sujet de l'intifada franchouille se volatisent plus vite que l'armée française devant un ennemi qui arrive à toute vitesse. Le texte intégral de la dépêche est reproduit ci-dessous.

PARIS, 7 nov (AFP) - En 2002, le Laboratoire central de la préfecture de police de Paris, qui célèbre ces 125 ans et intervient en région parisienne sur les explosifs, a constaté une recrudescence des engins explosifs artisanaux de type "pipe-bombs".

Ceux-ci sont fabriqués à partir de poudre noire ou d'un simple désherbant et font parfois florès dans les cités sensibles de la banlieue de Paris.

Ils visent par exemple les cabines téléphoniques, selon des policiers, ou des édifices publics et sont souvent le fait de "bandes de jeunes délinquants qui s'amusent ou s'en servent comme d'une arme".

Au laboratoire central, le "labo" de Paris, on ne se livre pas à de tels commentaires. Dans son bilan de l'année 2002, on peut cependant mesurer l'importance du phénomène en lisant les statistiques de son activité spécifique de "recherche de substances explosives".

Le laboratoire a ainsi traité 94 affaires contre 61 en 2001 (+ 47%). Cette "forte augmentation", relève le laboratoire, "est due principalement à la mise en oeuvre d'engins explosifs improvisés de type +pipe-bombs+ en banlieue parisienne". La recette peut être facilement trouvée sur Internet, soulignent des experts du "labo", et peut se révéler dangereuse à l'emploi, certains des auteurs "pouvant y laisser un bras".

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